Nos Assemblées Paroissiales approchent…

Date: 10 novembre 2019

Semaine du 10 au 16 novembre 2019 – Année C
2 M 7, 1-2.9-14 ; Ps 16 ; 2 Th 2, 16 – 3, 5 ; Lc 20, 27-38

Vous le savez peut-être, notre évêque, Monseigneur Santier, demande désormais, aux paroisses de son diocèse d’organiser, une fois par an, une Assemblée Paroissiale. C’est ce que les 4 paroisses de notre doyenné s’apprêtent à faire dans les semaines et les mois qui viennent.
Au cours de ce temps de rassemblement, l’Équipe d’Animation Pastorale présente un état des lieux de la paroisse. De son côté, le Conseil Économique Paroissial présente les aspects économiques et matériels, et met en avant les besoins en ressources pour conduire les projets. Mais ce n’est pas tout.
Pour qu’une assemblée paroissiale tienne toutes ses promesses, il faut que TOUS les paroissiens, pratiquants réguliers ou non, se sentent concernés en y participant activement.
Chacun doit pouvoir apporter sa contribution (écrite et/ou orale) susceptible d’améliorer l’action de la paroisse. Pour que ces contributions soient le plus riche possible, il faut qu’elles aient été portées dans la prière et la réflexion durant un temps significatif.
Le climat fraternel de cette assemblée favorisera la disponibilité de nouvelles personnes à prendre un engagement dans la paroisse.
Ses débats feront l’objet d’un compte rendu largement diffusé y compris au doyen et au vicaire épiscopal.

Après en avoir discerné la pertinence et la faisabilité, l’EAP mettra en œuvre les conclusions de l’Assemblée Paroissiale.

Nous vous invitons donc dès maintenant, à prendre la mesure de l’opportunité qui vous est proposé, de partager bientôt à tous, dans vos Assemblées Paroissiales respectives, les belles lumières que l’Esprit-Saint aura déposé dans vos cœurs, pour le bien de tous.

Prions donc ardemment et réfléchissons dès à présent, afin que le Seigneur accompagne et bénisse, ces temps communautaires de relecture et de perspective dynamique… afin que nos communautés portent les fruits que le Seigneur attend d’elles.

Fraternellement,

P. Vincent Paulhac